A la Distylerie vous exprimez votre style

Tous les cours de la Distylerie sont animés par des artistes, des créatrices et créateurs expérimentés, professionnels confirmés, doués de sens pédagogique, généreux et curieux. En 2024, durant onze semaines, redécouvrez des cours incontournables de la Distylerie, mais également des nouveautés! Pour vous accueillir, une équipe motivée, des locaux grands et équipés, un esprit de création et beaucoup de bonne humeur. 

nos professeurs

Muni d’un diplôme des Beaux-Arts et d’un CAP à l’École Nationale d’osiériculture et de vannerie, Pierre Abernot fabrique des objets utilitaires traditionnels, mais il conçoit aussi des pièces en volume, apparentées à la sculpture.

Instagram de Pierre Abernot

Amaia fait ses premiers pas de danse en 2006, en danse classique et jazz. Elle entre au Conservatoire de jazz en 2016 et obtient son diplôme d’études chorégraphiques quatre ans plus tard. Suivent les Diplôme d’Etat de Professeur de Danse et de Jazz. Depuis, Amaia enseigne la danse, continue à se perfectionner (pilates) et collabore à des créations avec divers chorégraphes comme Anthony Despras, Wayne Barbaste, Anne-Marie Porras etc.

Naissance à Londres en 1971. De formation technique, il fait ses débuts dans l’industrie, puis l’enseignement. Depuis 2002, il se consacre entièrement à ses sculptures et tableaux. Il vit et travaille à Bresse sur Grosne, en Saône et Loire.

Site de José Aguirre

 

Études aux Beaux-arts de Beaune et de Bourges
Stage de sculpture au Kingston collège à Londres
Entretiens avec Voulkos, Mac Kenzie, Betty Woodman, Jim romberg
Bourse de recherche du centre national d’arts Plastiques sur le thème Terre/Bronze
Lauréat du concours «inax Design Prize» et invitation 3 mois au Japon pour travailler dans l’atelier d’artistes du groupe de céramique industrielle INAX
Invitation au neuvième symposium international de céramique de Panevezis en Lituanie
Intervention à la 10eme conférence internationale de céramique de Melbourne (Australie)
Intervenant aux rencontres professionnelles de Bandol

Site de Dominique Bajard

 

Née à Belgrade en 1969, Marija Barisic a étudié à l’Académie des arts appliqués. Elle travaille dans l’industrie suisse de la mode et possède plus de trente ans d’expérience en tant qu’artiste, instructrice et styliste.
 

Petite Martine Béguin voulait devenir maîtresse d’ACT… et elle est devenue employée de commerce… A 22 ans, en entrant dans l’atelier d’une tisserande près de Cassis, elle a su qu’elle allait entreprendre une seconde formation. A 25 ans elle obtient son CFC de tisserande après 3 années d’apprentissage à Filambule. Depuis presque 40 ans Martine Béguin ne se lasse pas de lancer sa navette et de découvrir les premiers centimètres de ses tissus avec une grande émotion.

Installée depuis 2007 dans le quartier de la Valsainte à Vevey, c’est derrière son métier qu’elle réalise des créations uniques et originales. C’est là qu’elle tisse tout. C’est là qu’elle est Tisstout!

 

 

Née en 1961 à Château-d’Oex, CFC d’employée de commerce en 1980. Première approche du tissage en 1984 à l’Heimatwerkschule de Richterswil ZH, suivie d’un semestre de cours à l’école d’Arts Visuels de Christine Aymon à Vérossaz, VS. Divers stages de tissage et tapisserie en Belgique. Formation complète de tisserande à l’Ecole d’Arts Appliqués (CSIA) de Lugano,TI de 1989 à 1991. Stage d’une année aux Etats Unis en 1992 (projet de tissage assisté par ordinateur). Dès 1993, création de vêtements, accessoires et tissus d’aménagement d’intérieur. Naissance de 3 enfants en 1994, 1996 et 2001. Ouverture de l’Atelier du Textile à Chardonne en janvier 2008, puis dès septembre 2014: Atelier A l’Angle à Vevey. 2013-2014: Formation d’experte pour les examens des apprenties créatrices de tissu.

Site de Lise Bertholet

Née en 1959. Formation dans divers ateliers en France et à l’étranger (Angleterre et Danemark ). Atelier personnel en 1982 dans lequel je réalise des objets décoratifs (plats , boîtes , panneaux muraux …), et du mobilier . Depuis 2010, je me concentre uniquement sur un mobilier figuratif…

Site d’Agnès Coupey

Né dans le Jura. Avant d’être auteur, il a été enseignant, journaliste, marin, architecte en information, chef de projets web, père à temps partiel et créateur d’entreprises. Après une première formation en psychopédagogie à l’Université de Fribourg, il entre en journalisme.

En 2013, il publie son premier roman, Elle portait un manteau rouge. Suivront Mes trous de mémoires (nouvelles, 2016), Le Pas de l’éléphant (roman, 2017) et Marins à l’encre (nouvelles, collectif, 2018) aux Editions Slatkine. Fin 2020, il lance Les déjantérotiques, une collection de 12 nouvelles illustrées par 12 femmes.

Site de Pierre Crevoisier

Elle s’imaginait couturière, ses parents l’orientent sur un «vrai métier». Devenue technicienne en radiologie, Ariane Delabays achète, avec son premier salaire, une machine à coudre, renouant avec sa passion première du textile en suivant des cours du soir. Son histoire d’amour avec le couvre-chef naît à Londres lorsqu’un photographe repère son port de tête et lui fait porter le chapeau pour une série de photos. «La couture obéit à des règles, elle est régie par des patrons. Avec les chapeaux, j’ai découvert une infinité de matières à travailler en trois dimensions.» Elle se formera au métier de modiste à la School of Fashion Design de Boston, avant de parfaire son art en multipliant les stages à travers l’Europe. Forte de ces expériences, la femme de tête se lance avec optimisme dans l’aventure risquée de l’artisanat.

Site d’Ariane Delabays

Archéologue de formation, Sabrina a fait de son amour des objets anciens son métier. Elle parcourt les brocantes et les déchetteries pour dénicher les belles pièces anciennes, auxquelles elle redonne vie en les redécorant. Depuis son passage à l’émission « Bon débarras » de la Télévision Suisse romande, en 2021, son art attire tous les amatrices et amateurs des beaux objets. Elle organise des ateliers où elle retransmet son savoir.

Site de Sabrina Di Giacomo

Après des études de peinture à l’école secondaire des Arts Visuels, Marija poursuit ses parcours en étudiant la mode à l’Académie des Arts Visuels et du Dessin à Belgrade, en Serbie. Diplômée d’un master en stylisme, elle travaille en tant que styliste dans les maisons de mode et fait plusieurs expositions.  Elle est d’ailleurs lauréate de nombreux prix. En 2001, Marija fait une spécialisation Stylisme à la Cambre à Bruxelles. Elle travaille alors comme styliste pour différentes marques et fait des collaborations artistiques pour plusieurs projets. En parallèle de son activité professionnelle, elle crée en 2015 son atelier de mode MD’ARTIST « petits stylistes », pour les enfants. 

Page Facebook de Marija Drobnjak Van Tieghem

Né à Lausanne en 1975, Pierre Fankhauser suit des études de lettres et de sciences sociales à l’UNIL. Il travaille ensuite en tant que journaliste culturel à L’Hebdo et comme professeur de littérature française au gymnase. Parti vivre quelques années en Argentine, il s’y consacre à l’écriture et à la traduction de romans tout en se formant à l’écriture de scénarios à l’Université de Buenos Aires. C’est à son retour en Suisse que Pierre Fankhauser fonde A vrai dire, structure dans laquelle il propose des ateliers d’écriture, commence à enseigner à l’Institut littéraire suisse de Bienne et publie son premier roman, Sirius (BSN Press, 2014). En 2019 paraissent coup sur coup trois ouvrages chez BSN Press: Ruptures, sa deuxième traduction de l’auteur argentin Ariel Bermani, Abécédaire, sa traduction d’un recueil du poète chilien Pablo Jofré et Bergstamm, son deuxième roman. En 2024 paraissent aux Éditions A côté de cela son recueil La visée (prix Tirage Limité 2018) avec la peintre Anne Pantillon et sa traduction des cinq premiers recueils de Pablo Jofré, De rue en rue. Il reçoit en 2021 la bourse à l’écriture du Canton de Vaud et, en 2022, celle de la Fondation UBS pour la culture pour son projet de roman Voleurs de Diamants.

Site de Pierre Fankhauser

 

Je suis une grande curieuse et passionnée par les fibres de tous poils ! Très jeune, je me lance dans la couture, ma grand-maman m’apprend à tricoter et à broder, j’expérimente, sur sa vieille machine à coudre, un style « nouveau » pour habiller mes poupées, mais je n’en ferai pas mon activité principale… enfin pas tout de suite. Je me dirige vers des études d’ingénieurs et travaille en recherches alimentaires de nombreuses années tout en suivant, en parallèle, des ateliers créatifs divers et variés. En 2004, je crée ma marque ; créa-tine, conjonction de « création » et de « Martine » qui résulte du nom d’une protéine indispensable à la production d’énergie dans nos muscles, pour bouger, avancer, une petite protéine indispensable à la vie, la créatine ! En 2011, nous partons en famille vivre à l’étranger et c’est pour moi l’opportunité de me lancer dans ma passion ; La couture et le travail des fibres. C’est à Pékin que je me retrouve à enseigner la couture à des adultes et des enfants dans diverses écoles, tout en travaillant chez une costumière chinoise… tout un programme ! Puis, nous partons vivre au Sud de Londres et par un heureux hasard, je découvre la teinture et l’impression végétale, c’est le coup de foudre instantané pour ces tons harmonieux, pour les possibilités infinies que nous offre la nature. Je me passionne pour ces techniques, je me forme, j’apprends, je lis et j’expérimente toujours et encore. De retour en Suisse en 2019, je cultive mon jardin tinctorial et je teste les variétés qui poussent à nos altitudes. Lors de balades, je glane des feuillages aux formes intéressantes et les sèche dans mon grand presse papier. Je suis fière de présenter des créations « presque 100% Made in Palézieux » ! Début 2021, j’ouvre mon atelier textile au centre d’Oron, j’y enseigne et transmets ma passion et mes connaissances pour la teinture et l’impression végétale. 

Site de Martine Fiaux

Couturière et créatrice, Mireille Ganamé aime la variété des costumes. Elle donne des cours à la Distylerie depuis plus de vingt ans et enseigne également dans diverses associations culturelles et de solidarité.

 

Les ateliers d’antan me font rêver avec leurs odeurs, leurs outils et leurs secrets. Il y règne une atmosphère singulière comme au théâtre. L’outillage y est un orchestre où chaque outil est un instrument avec sa propre musique et sa cadence, son rythme. L’artisan y est le comédien qui réalise sa performance. Pousser la porte d’un atelier, c’est, en quelque sorte, entrer dans un autre univers..

Au cœur des projets, il y a la volonté de reprendre le métier de Tapissier-décorateur appris avec mon père. Pour défendre l’artisan et éviter que les outils ne fassent silence, mais également pour encourager la réfection des meubles. Essayer à mon échelle de lutter contre la surconsommation en redonnant vie au mobilier en utilisant des matériaux nobles, recyclables ou recyclés et des produits aussi naturels que possibles.

Cette philosophie, je la partage avec quelques partenaires artisans de la région évoluant dans divers domaines. Ensemble, nous avons à cœur de partager notre savoir-faire. CAP NORD (Collectif d’Artisans Passionnés – Naturel, Original, Recyclable, Durable) est né de cette passion commune.

Elsa Gurrieri naît à Lyon en 1974. Fille du peintre Salvatore Gurrieri (1937-2003), elle reçoit sa première formation à la maison. Après le décès de son père Elsa se tourne vers la peinture  en 2004 comme moyen de dépasser l’apparence et d’appréhender la vérité qui réside au-delà de la forme. Elsa se sert de la peinture pour faire éclore la vérité cachée à l’intérieur d’elle-même. Ce désir de connaissance transparaît dans ce tourment intérieur que nous pouvons déceler dans les nodosités de quelques arbres dépouillés qui émergent puissamment du sol pour aller vers le haut à la recherche de la liberté. 

Site d’Elsa Gurrieri

Florence Hügi a été libraire, puis journaliste avant de créer « Filigranes », un lieu dédié à la formation et l’accompagnement des adultes et à la pratique du récit de vie. Elle vient de créer un nouveau programme intitulé « Les Filles d’Olympe », hommage à Olympe de Gouges, guillotinée pour avoir trop parlé. Les Filles d’Olympe, pour des femmes fortes dans l’espace public, c’est « Créatives! » un Salon d’écriture qui propose des cycles de huit semaines en ligne et « Citoyennes! » qui offre des modules d’accompagnement et de soutien à l’élévation de soi. Le podcast « Les Filles d’Olympe » complète le dispositif. 

Site de Florence Hügi

Technicien d’ameublement de métier, Claude Isserte ouvre en 2017 son atelier où l’artisan d’art se mue en concepteur et designer de luminaires et objets décoratifs en papier. Il se consacre alors entièrement à sa passion, transformant le papier par ses techniques et la maîtrise du geste en œuvres artistiques. 

Son plus grand bonheur est de transmettre son savoir-faire à un large public : origami, pliage, découpage sur la base de modules qu’il a conceptualisé lui-même (géométrie, patrons, chablons).

Page Facebook de Claude Isserte

Alan Mantle est né à Barmouth au Pays de Galles le 24 Août 1952. Il a suivi sa scolarité au Pays de Galles à Dogellau et obtenu son diplôme d’ingénieur chez Rolls Royce. C’est son premier professeur d’art Maldwyn Thomas, à l’école secondaire, qui lui a transmis l’amour du bois. Sa formation de technicien lui a enseigné la concentration, et la précision. Sa passion pour la nature et les arbres va prendre très vite le dessus. Il deviendra ainsi élagueur, puis sylviculteur au côté de Ray Perry, gérant ainsi une forêt de 50 hectares dans le parc de Snowdonia au Pays de Galles. Art et Nature sont devenus son quotidien. Il complétera toutes ses formations en assistant David Nash, artiste international, durant trois ans. Il l’accompagnera en France en 1988 pour un projet culturel et reviendra seul l’année suivante pour présenter son travail dans les musées français. Un virage important puisqu’il réside depuis dans ce pays où il vit de son art.

Site d’Alan Mantle

Artiste et art-thérapeute, elle est spécialisée dans le kintsugi, cet art japonais de réparation des cassures à l’or. Passionnée de thé, de céramique et de tricot, elle nous entraîne dans la philosophie du wabi sabi, la beauté de l’imperfection.

Son exemple de vie, ce sont les onna-bugeisha, ces femmes samouraïs oubliée de l’histoire, dont on découvre aujourd’hui l’existence. Elle est l’autrice du recueil de poèmes Pastels de ciel et d’un livre en préparation sur l’art du kintsugi.

Site de Véronique Mooser

Juliette habite en Suisse dans le canton de Vaud et est passionnée de permaculture, de photo, de cuisine et de biodiversité. Biologiste de formation, elle est maman de 4 enfants. Elle anime des ateliers, propose des échanges, du coaching, des cours de design, des ateliers de cuisine, des cueillettes sauvages etc.
 

Ruben Pensa est né en Argentine et vit actuellement en Suisse. Artiste, architecte, parfois écrivain, il aime le langage de l’éphémère et la poésie du naturel.
Homme d’horizons sans frontières.
Il a participé à plusieurs expositions Land Art dans des parcs naturels ou jardins botanique et a exposé ses œuvres de dessins, gravures ou peintures dans des galeries suisses et argentines.

Page Facebook de Ruben Pensa

Je m’appelle Kristell, je fabrique des bijoux et des objets en cuir dans mon atelier situé à Grandris dans le Rhône.
Je suis une passionnée d’artisanat, de savoir-faire d’ici et d’ailleurs, une amoureuse de la nature et des sports outdoor.
Styliste modéliste de formation, j’ai vécu plusieurs vies professionnelles avant de me lancer, en autodidacte, dans le travail du cuir et de la bijouterie en 2013. En 2018, je fais un pas de côté le temps de voir grandir ma fille. Quelques années plus tard, l’envie et le besoin de création sont toujours intacts, Holen voit le jour.

Site de Kristell Perrin

Renaud Perrin a étudié l’illustration à la Hear de Strasbourg. Il vit à Marseille depuis 20 ans où il développe des projets dans différents domaines artistiques : expositions, éditions, films d’animation, scénographie… Il a publié des albums illustrés aux éditions du Seuil jeunesse, Thierry Magnier, le Rouergue… et des livres d’artistes imprimés en gravure et en sérigraphie. Il utilise toutes sortes de techniques et d’outils : pastel sec, fusain, crayons, machine à écrire… pour des dessins de grandes dimensions, des films d’animation ou des illustrations de livres. Il intervient régulièrement à l’occasion de stages et workshops, auprès d’étudiants en écoles d’arts, amateurs et artistes professionnels. 

Site de Renaud Perrin et compte Instagram

Gérard Pleynet parfait sa formation de photographe à Metz et Lille. Il vit et travaille à Munich depuis 1986 comme photographe d’entreprise spécialisé sur l’humain. Il est mandaté par des éditeurs et des entreprises. Il est conférencier à la VHS Munich et à l’IFFMA (Académie internationale de cinéma, de télévision et de musique). Il organise également des séminaires privés de photographie et collabore avec les musées d’Art de Munich (Pinakothek der Moderne, Museum Brandhorst). Son travail personnel sur la relation de l’humain à son environnement – en particulier dans le contexte urbain – est régulièrement exposé.

Site de Gérard Pleynet

 

Infirmière de formation, après 6 ans de pratique, je sens que ce métier n’est pas assez créatif pour moi. A 27 ans, je décide de changer et fait une formation d’ergothérapeute. L’activité, le faire, et la maîtrise de techniques créatives diverses et variées sont maintenant au cœur de mon travail. A l’arrivée de mon 3ème enfant, j’ai l’impression d’être au four et au moulin, et je décide d’arrêter mon travail. Tout en soignant enfants, fleurs et légumes, je cultive mon autre passion de toujours : les marionnettes. Je suis différentes formations, pour la création et le jeu, notamment au théâtre de la Turlutaine à la Chaux-de fonds, et chez une marionnettiste d’Art (Arafil) à Genève ou au théâtre du Roublot, à Paris. En 2013, j’ouvre mon atelier de marionnettes « la caverne de Cathybabioles ». J’y anime des cours, des stages, et fêtes d’anniversaire, pour les enfants, pendant 7ans. Un univers entièrement constitué à partir de matériel de récupération. Les trucs et les bidules deviennent ma matière première de prédilection. Et je peux utiliser, pour ma plus grande joie, ma grande imagination. J’imagine de nouveaux styles de marionnettes, j’invente des mécanismes, je me perfectionne en modelage en suivant des cours chez une sculpteur. Marionnettes à fils, à tringle, à main fantôme, tchèque, d’ombres, sac, théâtre d’objets.  J’expérimente tout, et construis 6 spectacles de marionnettes, que je joue, seule ou en compagnie, dans le petit théâtre de mon atelier, pour un public local et les classes des écoles environnantes.  Ou dans des festivals de marionnettistes amateurs (Figuresco). Ma vie et mes enthousiasmes en font les thèmes : « chinoiseries », construit à partir de figurines découpées ramenées d’un voyage en Chine, « l’indigestion de mère nature », construit en parallèle à une démarche personnelle de Zéro déchets, « un poisson dans l’immeuble ».  Les marionnettes font partie de ma vie de tous les jours.

Compte Instagram d’Anne-Catherine Schwaar

Après un parcours riche en apprentissages comme bûcheron, paysan, cuisinier, travailleur acrobatique, la rencontre de Thierry Sivet avec un artiste en 1992 est déterminante pour la suite de sa carrière. Il devient sculpteur céramiste et décide de poursuivre sa passion pour la terre, le bois, les matières et le feu dans le domaine artistique.
 

Diplômée en 1993 en design industriel et de produits par la HEAD – Genève, j’ai une expérience de 30 ans dans le design de mode et une expérience de 25 ans dans l’enseignement de design de mode. J’ai découvert une vraie passion pour la coupe zéro déchets durant l’été 2014. En étudiant la coupe des chemises paysannes, gilets et robes antiques pour m’en inspirer et concevoir une collection, j’ai tout naturellement essayé de reproduire leur coupe. Certaines de ces chemises dérivées du Dalmatica byzantine étaient coupées selon la manière appelée, « la coupe orientale en croix » par les historiens du costume. Lors de cette étude, à ma grande surprise, j’ai remarqué que tous ces vêtements étaient coupés d’une manière très économe et que tous les éléments du patron s’inscrivaient parfaitement dans une laize sans faire des chutes dans le tissu. Pour moi, qui coupait toujours moi-même les prototypes de toutes mes collections, le fait de comprendre qu’il y avait eu une autre méthode de coupe dans l’antiquité était une vraie révolution!

Miroslava Stankovic Minuz est psychologue spécialiste en psychothérapie FSP. Elle exerce actuellement en cabinet privé tout en enseignant au Cepuspp et MAS de Lausanne. Elle fait partie des superviseurs de l’ASPCO et de la formation postgrade de Lausanne.
 
Je suis né le 30 juin 1967 à Bienne et j’ai grandi dans le quartier de Fuchsenried à Bözingen. Le dessin et les croquis faisaient partie de mes activités préférées dès mon plus jeune âge. Quand j’ai vu les premiers graffitis, j’ai tout de suite compris que c’est que je voulais faire.
 
 

Diplômée des Beaux-Arts de Valence et titulaire d’une maîtrise en histoire de l’art, Céline Thoué organise son activité créatrice autour du dessin, de la gravure, de la typographie, de la peinture, de la céramique, passant d’un médium à un autre, tout en attribuant une place centrale au dessin. En 2005, elle fonde l’atelier typographique l’Épluche-doigts (Propières, 69) en collaboration avec Pierre Abernot. Depuis janvier 2014, elle édite la revue Mecanica, dédiée à la gravure et à l’impression. 

Céline Thoué poursuit son exploration personnelle de la gravure, de l’impression et de ses possibilités en basculant de l’aspect figuratif vers un univers formel. Depuis 2005, l’artiste dédie une partie de son travail à la question du territoire et notamment à sa transformation par l’homme (agriculture, climat, conflits, frontières mouvantes, etc.). Ainsi son travail se développe autour de la représentation de ce paysage, existant ou imaginé.

 

Ethnologue de formation académique, Lilo anime des ateliers et des cours de cinéma (stop-motion, fiction, documentaire) dans les écoles obligatoires du canton de Neuchâtel, les Hautes écoles pédagogiques et dans les musées. Elle accompagne adultes, ados et enfants dans la réalisation de leurs propres courts-métrages, dans une ambiance pleine de fantaisie, en partageant sa passion pour le cinéma et en offrant un soutien personnalisé. Programmatrice du KID-O-NIFFF pour le Festival du film fantastique de Neuchâtel, fondatrice de Filmetic Productions, Lilo travaille également comme réalisatrice, camérawoman et monteuse pour des films institutionnels et des documentaires.